L’étude validée vise à identifier les axes de développement des compétences et qualifications requises pour répondre aux besoins en « emplois verts » dans les zones minières et les mangroves à la lumière des enjeux relatifs aux changements climatiques, à la protection de l’environnement ainsi qu’aux impacts de la crise économique globale en matière de restructuration des activités économiques et du marché de l’emploi en particulier
En outre l’étude décrit les potentialités, les opportunités, les forces et les faiblesses, ainsi que des orientations liées au développement des emplois verts dans les écosystèmes. C’est dans cette optique que le Projet d’Appui à l’Employabilité et à l’Insertion des Jeunes dans les Secteurs Porteurs (PAEIJ-SP) a réalisé cette étude en vue de faciliter l’accès des jeunes aux débouchés sûrs et à forte valeur ajoutée.
« Les emplois verts sont aujourd’hui reconnus comme une nouvelle opportunité d’inclusion sociale, en particulier pour les jeunes diplômés. De meme, les emplois verts constituent un potentiel réservoir de nouveaux emplois en faveur de la jeunesse et concourent à la préservation et à l’amélioration des emplois existants ». a indiqué le Directeur de cabinet du ministère chargé de l’emploi des jeunes, présidant l’ouverture de l’atelier.
Le PAEIJ-SP vise à créer les conditions d’une croissance économique plus inclusive à travers la promotion de l’entrepreneuriat dans les secteurs porteurs sur la période 2016-2020 avec pour cible 19600 emplois directs créés.